«J’ai commencé à le faire à l’entraînement plus comme une blague mais j’ai essayé encore et encore, a expliqué Federer dimanche. Et ça ne semblait pas si difficile que ça à réaliser pour moi. En plus, ça vous oblige à jouer en étant vraiment impliqué.» Si le Suisse réinvente son retour, difficile de ne pas remarquer l’efficacité de son service. Contre Djokovic, déjà: aucune balle de break à écarter, 83% de points gagnés derrière sa première et 73% derrière sa deuxième. Tout ça face au meilleur relanceur du monde, certes dans des conditions de jeu rapides, mais tout de même.
En cinq matches à Cincinnati (Bautista Agut, Anderson, Lopez, Murray et Djokovic), Federer n’a concédé que… 3 balles de break (!), bien sûr écartées : à 2-3 0-40 dans le deuxième set contre Lopez. C’est encore plus fort lorsqu’on élargit l’analyse à l’année 2015.
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Source : Gros plan – Google Actualités
